intelligence collective - Espaces d’émergence de l’IC au travail

L’intelligence collective : au-delà des discours

 

De l’attention-vigilance à l’intelligence collective : expérimentation en psychologie humaine


Dambrun, M1.,
Grosjean, V3.,
Pellerin, N2.,
Raufaste E2.,
Schimchowitsch S4.,
Streith, M1.
1. Université Clermont Auvergne; 2. Université Toulouse 2 ; 3. INRA; 4. CNRS/Université de Strasbourg

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Ce projet émane d’un petit groupe de chercheurs et d’étudiants en psychologie cognitive, sociale ou positive, impliqués dans une pratique contemplative personnelle et dont les recherches concernent les conditions et les processus qui favorisent le bien-être et l'épanouissement des individus et des groupes. Leur idée phare : adopter l’attention-vigilance comme matrice commune de leurs rencontres pour essayer de créer un terrain propice à l’émergence de nouveaux champs d’investigation.

Objectifs de l’expérimentation :

  • Permettre un mode de communication et de collaboration basé sur une présence consciente, favorisant une qualité de partage et d’écoute ainsi que le bien-être des participants.
  • Expérimenter, de façon constructive, la confrontation de l’approche psychologique occidentale dominante d’investigation (à la troisième personne) à des méthodes d’analyse à la première personne (approche introspective). Questionner la concordance de ces approches et la nécessité d’éventuels ajustements en vue des recherches futures.
  • Questionner la place du chercheur au sein de son activité professionnelle, l’entraînement mental à l’attention-vigilance invitant naturellement chacun à sonder ses propres activités psychologiques et leurs éventuelles implications.

Matériel et Méthodes :

Quatre rencontres, pour le moment, ont servi de base à l’expérimentation.

L’enrichissement des thématiques et des outils d’exploration proposés témoigne de l’évolution du processus.

  • La première rencontre, informelle, a permis à chacun de définir ses envies et son propre questionnement.
  • La deuxième (Bien-être, état de conscience optimal et accompagnement psychologique innovant) s’est déroulée sous un schéma plus classique de congrès scientifique, mais les journées et les sessions de travail ont été rythmées par des pratiques d’attention-vigilance, chaque intervention et temps d’échange étant notamment précédé et suivi par une séance de méditation.
  • La troisième (Bien-être, état de conscience optimal, intelligence collective et recherche innovante en psychologie), a fait intervenir un coach formé à la théorie U et aux pratiques d’intelligence collective. Il s’agissait d’explorer si et comment l’association de temps de pratique méditative solitaire à des pratiques collectives d’écoute active et de co-création était capable de régler des problématiques, dépasser des obstacles, favoriser l’émergence de nouvelles idées, enrichir la pratique professionnelle et le positionnement d’enseignant-chercheur.
  • La quatrième (Intelligence collective et mise en place d’états de conscience heuristiques optimaux), reprenant et testant de nouveaux outils d’intelligence collective, a souhaité (dé)centrer la recherche, et explorer comment une approche collective conciliant réflexion et exploration intérieure peut faciliter l'adoption d'une attitude juste par rapport à la recherche, en termes de choix d'objectifs et de méthode, d'harmonie entre les activités professionnelles (recherche vs. enseignement ou activités collectives), et d'harmonie entre vie au- et hors-travail.

 

Résultats, discussion et perspectives

Ce projet d’(auto)expérimentation scientifique est destiné à se poursuivre, s’étoffer et s’ouvrir, de la façon à la fois construite et spontanée, analytique et intuitive, créative et formelle, dont il est issu. Il invite les expérimentateurs à découvrir, analyser et essayer d’intégrer des processus d’investigation et de création à la fois intérieurs, extérieurs et collectifs. Il a donné lieu à la naissance de l’association RPsyGEM (Recherches en psychologie guidées par l’entrainement mental à l’attention-vigilance). Plusieurs cercles de coaching ont déjà permis au groupe de travailler de façon originale sur différentes thématiques et difficultés, offrant des pistes et des solutions difficiles à trouver individuellement. Il a également permis de créer un mandala collectif, destiné à évoluer, regroupant à la fois les valeurs et les difficultés du processus en cours.

Références :

Scharmer, O., & Campillo, V. (2012) Théorie U: Diriger à partir du futur émergent. Pearson

Varela, F., Thompson, E., & Rosch, E. (1991). The Embodied Mind: Cognitive Science and Human Experience. Cambridge: MIT Press.

Walsh, R. & Shapiro, S. L. (2006). The meeting of meditative disciplines and western psychology: a mutually enriching dialogue. American Psychologist. 61 (3) : 227-39.

Ziegler, R., & Weger, U. (2018). First-person experiments in thinking. European Psychologist, 23 : 189-205

Wallace, B. A., & Shapiro, S. L. (2006). Mental balance and well-being. American Psychologist, 61, 690-701.

 

L’intelligence collective au service de l’insertion. Retour d’expérience d’une recherche-action participante et éthique


Balzani
Cervera
Houot
Marcandella
Starck
Wannenmacher
Collectif PICOTE

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S’inscrivant dans une tradition de recherche poursuivant un double objectif de production de connaissances et de changement de la réalité sociale par l’action et considérant les acteurs du terrain comme des co-chercheurs, les membres du collectif PICOTE (Projets Innovants Collaboratifs Territoriaux) ont développé une démarche et une approche originale qui se construit sur des territoires et qui croise différentes disciplines scientifiques (sociologie, sciences de l’éducation et sciences de gestion).

Le projet a notamment pour ambition de proposer des outils et des méthodes afin de faciliter la communication et la collaboration entre les acteurs des territoires. Les outils et les méthodes comprennent :

  • État des lieux et entretiens avec des acteurs du territoire dans le champ de l’insertion ;
  • Des ateliers avec les différents professionnels de l’insertion sur la notion de parcours d’insertion ;
  • Des « focus group » avec des publics concernés par les actions proposées sur le territoire.

Ces démarches et ces outils d’investigation partagés permettent de confronter les différentes visions du territoire, conçu par les politiques publiques, organisé par les acteurs locaux et vécu comme « milieu de vie et d’action » par les populations concernées. Ces visions parfois antagonistes ou convergentes, permettent d’identifier des tensions qui permettent de répondre à la question centrale du projet, à savoir « tenir ensemble les contraintes et les ambitions toutes légitimes mais qui semblent difficilement conciliables ».

Notre communication a pour objectif de présenter notre démarche et de montrer comment celle-ci permet de développer l’intelligence collective au sein des territoires en faveur de l’insertion, notamment par le biais des ateliers et des focus-groups dans lesquels les acteurs du territoire – professionnels de l’insertion mais aussi bénéficiaires des dispositifs - sont amenés à s’exprimer, à échanger et à produire ensemble des représentations graphiques qui servent de base de discussion et de réflexion.

Références :

Avenier, M. J., Cajaiba, A. P. (2012). « The dialogical model: developing academic knowledge for and from practice », European Management Review, 9(4), 199-212.

Castra, 2003, L’insertion professionnelle des publics précaires, PUF, coll. « Le travail humain ».

Ebersold S., 2017, Éducation inclusive : privilège ou droit ?. Accessibilité et transition juvénile, Grenoble, PUG.

Gillet,A.,Tremblay DG. (2017). Les recherches partenariales et collaboratives, PUR.

Marcandella, E., Wannenmacher, D. (2018). “La RAPéth (Recherche Action Participante et éthique) : de la nécessité du temps patient en recherche”, Colloque pluridisciplinaire sur le temps, 29-30 mars 2018, Brest.

 

 

Le concours du psychologue ergonome à l’émergence d’une intelligence collective


Valérie Saint-Dizier de Almeida
2LPN

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Dans le champ de l’ergonomie de conception, l’intérêt pour l’Intelligence Collective (IC) a émergé avec le développement de l’ingénierie concourante dans les années 90. Il s’agissait de comprendre pourquoi une approche de conception coopérative et non séquentielle aboutissait à de meilleurs résultats en matière de conception - ont notamment été étudiés l’impact de la mobilisation d’objets et la façon dont les cognitions se distribuent dans ces situations de conception collective. Avec le développement actuel de l’ergonomie participative, ces préoccupations resurgissent puisque la participation des parties prenantes s’opère généralement via la mise en place de focus groupes avec mobilisation d’objets, ressources injectées par le psychologue/ergonome. Ce sont des objets voués à être emparés, exploités par les participants au cours du processus de conception/d’innovation.

L’enjeu de cette étude à visée exploratoire est de mieux comprendre, de mieux cerner l’activité de l’ergonome dans la mise en place et l’animation de ce type de collectif.

Nous nous baserons sur quatre études de cas qui ont débouché sur des productions validées par les commanditaires et qui ont été valorisées scientifiquement, ce qui laisse supposer que chaque focus-groupe a permis l’émergence d’une intelligence collective.  

Les quatre études de cas mobilisent la méthode du focus-groupe et le recours à des objets intermédiaires (des objets dits intermédiaires, voués à s’enrichir au gré de l’activité collective). Dans la première étude de cas, la mission était de capitaliser des connaissances - certaines déjà articulées, d’autres non -  sur l’évolution de la règlementation en matière d’évacuation incendie (Kebir et al., 2019). La deuxième visait la conception d’un jeu sérieux pour présenter les métiers du monde agricole aux collégiens (Arfaoui et al., 2019) ; la troisième visait l’émergence de solutions de préventions à propos d’un risque chimique mal instruit scientifiquement (Judon, 2017 ; Judon et al., 2019) ; la quatrième vise la conception de parcours pédagogiques pour optimiser l’emploi d’une plateforme numérique de formation (Pablo et al., 2019).

Les séances ont été enregistrées et transcrites. Les transcriptions sont mobilisées pour pouvoir placer les ergonomes en situation d’auto-confrontation à leur activité d’animation. Via un guide d’entretien adapté, il s’agit de recueillir des informations 1) sur la façon dont ils ont préparé leur focus-group (composition des collectifs, ressources/objets mobilisés, processus d’animation, finalités), 2) sur la façon dont ils ont injecté en situation ces ressources/objets en identifiant et en commentant les séquences se rapportant à ces moments – les verbalisations produites en entretien d’auto-confrontation seront confrontées à l’analyse interlocutoire des séquences commentées -, 3) sur leur perception des limites et apports de ce type de méthodologie (focus groupe et objet intermédiaire).

Les résultats seront discutés sur la base de travaux en psychologie sociale (Blanchet et Trognon, 1994, de Visscher, 2001), du travail (Cooke & Szumal, 1994 ; Aubé, Rousseau & Savoie, 2006) et en ergonomie (Garrigou,1992 ; Karsenty, 2013).

Références :

Blanchet, A., & Trognon A. (1994). La psychologie des groupes. Paris, Nathan.

Aubé, C., Rousseau, V., & Savoie, A. (2006). Les interventions régulatrices groupales et le rendement des équipes de travail : un modèle théorique. Le Travail Humain, 69, 3, 269-294.

De Visscher, P. (2001). La dynamique des groupes d'hier à aujourd'hui. Paris : PUF.

Garrigou, A. (1992). L’apport de la confrontation des orientations socio-cognitives au sein des processus de conception industriels. Thèse, CNAM, Paris.

Saint-Dizier de Almeida, V. (2015) L’utilisation conjointe de l’observation et l’auto-confrontation à travers l’étude d’une vente à domicile. Le Travail Humain, 78/4, 307-334.

 

Le coworking en tant qu’espace d’émergence de l’intelligence collective


Syrine MASROUKI,
Doctorante en Psychologie en 2ème année
Interpsy

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Nous constatons aujourd’hui une évolution des modèles du travail et de la société en général. En effet, dans un contexte socio-économique qui se dirige de plus en plus vers une économie collaborative, nous notons que, même dans la recherche scientifique, et notamment en psychologie, des champs tels que l’« intelligence collective » prennent de l’ampleur.

Les espaces de travail partagés tels que les espaces « coworking » s’inscrivent dans cette économie collaborative et proposent des formats d'organisation non structurés, avec une participation active des membres, un niveau élevé d'interaction et une expérience d'apprentissage autonome, sociale, fortuite et imprévisible (Bilandzic & Foth, 2013). Les utilisateurs de ces espaces les décrivent comme des lieux de collaboration et de partage des connaissances avec des personnes ayant des valeurs similaires si bien qu’ils sont considérés par certains auteurs comme des écosystèmes de travail d’un genre nouveau ainsi que des espaces d’observation et d’exploration de l’intelligence collective (Pierre & Burret, 2014; Surlemont et al., 2014). Décrits comme des espaces d’innovation (Morel et al., 2018; Pierre & Burret, 2014), les tiers-lieux en général, et les espaces de coworking en particulier, peuvent donc être au service du travail collaboratif et de l’intelligence collective promouvant l’innovation et la créativité (Waters-Lynch et al., 2016; Yu et al., 2019). (Parrino, 2015) définit 3 caractéristiques de ces types de tiers-lieux jouant un rôle dans la coordination : d’abord la co-localisation de plusieurs professionnels au sein d’un même environnement, la présence de travailleurs hétérogènes et la présence d'activités et d'outils destinés à stimuler l'émergence. En effet , Des moyens de sociabilisation tels que des plateformes de réseaux sociaux, des événements ou d’un « hôte » de communauté peuvent être prévus (Waters-Lynch et al., 2016). Selon Waters-Lynch & Potts (2017), ces lieux représentent un « point focal » de coordination tacite où des acteurs anticipent leur rencontre pour coopérer à d’éventuels projets communs. lls spéculent sur les intentions des autres, ce qui va influencer leur propre comportement.

Dans cette présentation, nous nous intéressons au coworking en tant qu’espace d’émergence de l’intelligence collective et aux mécanismes qui permettent cela. Nous nous focalisons également sur les types de coworking au sein desquels cette intelligence a le plus de chances de s’exprimer (organisation, emplacement, aménagement, etc.).

Références :

Bilandzic, M., & Foth, M. (2013). Libraries as coworking spaces Understanding user motivations and perceived barriers to social learning. Library Hi Tech, 31(2), 254–273.

Morel, L., Dupont, L., & Boudarel, M.-R. (2018). Espace d’innovation: De nouveaux lieux pour l’intelligence collective ?

Parrino, L. (2015). Coworking: Assessing the role of proximity in knowledge exchange. Knowledge Management Research & Practice, 13(3), 261–271.

Pierre, X., & Burret, A. (2014). Animateur d’espaces de coworking, un nouveau métier ? Entreprendre Innover, n° 23(4), 20–30.

Surlemont, B., Toutain, O., Barès, F., & Ribeiro, A. M. (2014). Un espace d’observation et d’exploration de l’intelligence collective. Entreprendre Innover, n° 23(4), 5–9.

Waters-Lynch, J., & Potts, J. (2017). The social economy of coworking spaces: A focal point model of coordination. Review of Social Economy, 75(4), 417–433.

Waters-Lynch, J., Potts, J., Butcher, T., Dodson, J., & Hurley, J. (2016). Coworking: A Transdisciplinary Overview (SSRN Scholarly Paper ID 2712217). Social Science Research Network. Yu, R., Burke, M., & Raad, N. (2019). Exploring impact of future flexible working model evolution on urban environment, economy and planning. Journal of Urban Management.

 

Réfléchir collectivement avec l’aide du Joker : le théâtre-forum comme outil d’intelligence collective


Vincent Grosjean1,
Ophélie Morand (1),
Julie Galmiche (2),
Myriam Claude (2),
Béatrice Cahour (3)
et Marc-Eric Bobillier-Chaumon (4)
(1) INRS, département Homme au Travail, Vandoeuvre-Les-Nancy
(2) Service de Santé, Orange
(3) CNRS i3 Ecole nat.sup.Télécom ParisTech
(4) CNAM, Paris

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Les cadres dans les entreprises vivent à l’heure actuelle une relation aux outils numériques faite d’ambiguïtés. Ces outils – typiquement les mails - sont pour eux indispensables : supports principaux de communication ascendante et descendante, amplificateurs de la puissance de communication et de décision. A côté de cela, rapports et enquêtes montrent que ces mêmes outils sont sources de souffrance, en particulier du fait 1° de leur empiétement sur la sphère privée, 2° de ce qu’il est convenu d’appeler FOMO (Fear Of Missing Out) - la peur de rater une information et 3° de la surcharge informationnelle des responsables associée au sentiment d’impossibilité de se déconnecter.

La société Orange et l’INRS collaborent depuis début 2017 sur les problématiques liées à la surconnexion. Au nombre des actions communes développées, l’utilisation du théâtre-forum pour 1° cibler des problèmes significatifs pour un collectif à partir d’un processus de convergence agie ; 2° construire collectivement une analyse et des voies de solutions pour avancer vers ce qui est parfois décrit comme « un problème insoluble ».

La communication proposée sera ciblée sur la présentation de la méthodologie mise en oeuvre autour de ce second objectif, avec un focus particulier sur le rôle de l’animateur, appelé « joker » selon le terme choisi par Boal, le père du théâtre-forum.

Trois catégories de personnes sont impliquées, les acteurs/interpellateurs (qui sont ici des salariés d’Orange ayant choisi et construit une scène représentant ce qui fait problème) ; le public qui inclut des personnes en position de prendre des décisions pour résoudre le problème ; le Joker, qui pilote le dispositif.

La séquence de théâtre-forum peut être synthétisée de la façon suivante :

le joker prépare le public par un dispositif de mise en mouvement et de mise en relation du type « brise-glace » ;

il présente ensuite les acteurs qui jouent la courte scène préparée en amont ;

il conduit les échanges avec le public, sans jamais apporter son point de vue sur la lecture de la réalité qui s’opère collectivement, dans une attitude de curiosité bienveillante, le cas échéant en suggérant à des membres du public de venir expérimenter avec les acteurs des variantes de la scène qui a été jouée ou des scènes complémentaires constructives de solutions.

Dans le cadre de la communication, nous présenterons un cas d’animation de séance de théâtre-forum. On pourra voir comment, en prenant appui sur un dispositif éprouvé, le joker facilite une succession d’échanges avec le public et rend possible l’élaboration collective progressive d’une représentation complexe et riche de la réalité posant problème et de l’espace des solutions. On pourra y voir aussi comment la dimension « agie » du dispositif (en particulier avec la logique des remplacements) et non pré-mentalisée par les acteurs ou par l’intervenant-joker contribue à la fois à une appropriation en profondeur de ce qui constitue la réalité et à l’élaboration d’une représentation « orientée transformation » de cette réalité. Enfin l’inscription de cette modalité d’intervention dans la lecture des sciences de la complexité sera explicitée.

Références :

Morin, E. (2014). Introduction à la pensée complexe. Point. 160 p.

Boal, A. (2003). Théâtre de l'opprimé ; pratique du théâtre de l'opprimé. Paris, La Découverte.

Grosjean, V. (). (juin 2019). Du bien-être individuel aux fonctionnements collectifs optimaux. Réflexion sur les modèles organisationnels de Laloux et Beck. Présentation/échange lors des Journées d’Etude en Psychologie guidées par l’entraînement mental à l’attention vigilance. (Toulouse).

Guérin, V. et Ferber, J. (2007). Le monde change… et nous? Clés et enjeux du développement relationnel. Eds Chronique Sociale. 256 p.